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19 janvier 2006

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19 janvier 2006

Cinquième année consécutive de pertes pour American Airlines

Les années se suivent et se ressemblent pour le transport aérien américain, dont les pertes cumulées, en 2005, devraient avoisiner 10 milliards de dollars (8,3 milliards d'euros), selon l'Association internationale du transport aérien (IATA).

American Airlines, premier transporteur américain et mondial, ne fait pas exception : pour la cinquième année consécutive, la compagnie de Dallas se retrouve dans le rouge à la clôture de ses comptes. Mercredi 18 janvier, en fin de journée à Wall Street, American Airlines a toutefois regagné 8,11 %, à 20,39 dollars, après avoir perdu 7 % la veille.

Pour l'exercice 2005, American Airlines accuse un déficit net en hausse de 13 %, à 861 millions de dollars (712 millions d'euros), son chiffre d'affaires progressant de 11,1 %, à 20,71 milliards de dollars (17,13 milliards d'euros).

American Airlines souligne qu'elle a réalisé son premier bénéfice d'exploitation depuis 2000 : 100 millions de dollars, hors exceptionnel. Mais, en tenant compte d'une charge exceptionnelle de 193 millions de dollars, elle affiche une perte d'exploitation de 93 millions de dollars.

Pour Gerard Arpey, le PDG d'American Airlines, les efforts réalisés par la compagnie ne sont pas suffisants : "Nous devons faire plus, tant au niveau de réduction des coûts qu'en matière de revenus si nous voulons renouer avec une rentabilité durable."

La rentabilité est mise à mal par la hausse des cours du brut et la concurrence aiguë des compagnies à bas coûts. American a ainsi dépensé 1,7 milliard de dollars supplémentaires pour financer son kérosène.

Quant aux compagnies à bas coûts, leur modèle économique continue à leur faire traverser la crise aérienne sans encombre : la plus célèbre d'entre elles, l'américaine Southwest Airlines, vient d'annoncer pour la trente-troisième année consécutive un exercice bénéficiaire.

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-732409@51-727949,0.html

19 janvier 2006

Opération séduction des entreprises auprès des jeunes

Caroline Beyer et Anne Jouan

[16 janvier 2006]

Après une interruption en 2001-2002, les entreprises sont de retour dans les écoles. Une démarche efficace quand elle est ciblée, conviviale, inventive ou ludique.

3 000 € donnés par Ernst & Young au bureau des élèves (BDE) des Ponts pour leur week-end d'intégration, 5 000 € attribués chaque année par Unilog au club Karting de l'X, bar au champagne pour la soirée de rentrée d'HEC financé par Deloitte, PricewaterhouseCoopers (PWC) qui met la main à la poche pour «l'Essec rugby team», ou encore Arcelor qui verse 90 000 € à la Kès de l'X (le BDE) pour le parrainage de la promo 2003 ... C'est du sponsoring ciblé sans retour immédiat sur investissement.

«Sponsoriser les campagnes BDE souvent associées aux soirées étudiantes de débauche n'est pas le plus efficace pour les entreprises, estime Grégory Declercq, président du BDE d'HEC. Pour financer ces campagnes, nous nous tournons vers les entreprises plus accessibles comme Coca-Cola ou Durex». Le futur cadre commercial estime que le sponsoring est efficace quand il est «raisonnable, ciblé et qu'il a une connotation élégante». PWC prévoit d'organiser des petits déjeuners Paul. «Ça va marcher !», assure Grégory.

Après une interruption en 2001-2002, les entreprises sont de retour dans les écoles. «En raison du papy-boom, j'ai besoin de 1 200 ingénieurs et cadres sur la France et l'Europe proche, ce qui représente trois promos de grande école», explique François Jacquel, DRH de Bouygues Construction.

Même constat pour le directeur de l'ESCP-EAP, Jean-Louis Scaringella, qui observe en outre une professionnalisation des entreprises dans leurs approches des étudiants. «Il y a désormais une fonction identifiée : celle de campus manager. Depuis cinq ou six ans, cette dernière se professionnalise.» Les opérations séduction passent toujours par des événements classiques tels les forums, les présentations en amphithéâtre baptisés trivialement «amphis-retape».

15 novembre 2005

Erika: Total devrait être renvoyé en correctionnelle


Le groupe Total devrait être prochainement renvoyé en Correctionnelle comme personne morale dans l'enquête sur le naufrage du pétrolier Erika en 1999 au large de la Bretagne, apprend-on de source judiciaire. Après pratiquement six ans de procédure, le parquet a requis ce renvoi pour "pollution maritime", tout en demandant un non-lieu pour l'incrimination de "complicité de mise en danger de la vie d'autrui", qui concerne les risques encourus par l'équipage du navire. C'est à la juge d'instruction Dominique de Talancé, qui a prononcé la mise en examen de la société en 2001, que revient la décision finale. Dans un délai encore indéterminé, elle devrait confirmer le renvoi devant le tribunal mais devra trancher sur le maintien ou non des deux chefs de mise en examen. Le pétrolier Erika, qui battait pavillon maltais, s'était brisé en deux le 12 décembre 1999 dans une tempête et avait sombré au large des côtes bretonnes. Le pétrole s'échappant des cuves avait souillé 400 kilomètres de côtes.



http://www.lexpansion.com/html/A135466.html

15 novembre 2005

VIVENDI

Hausse de 12% du CA de Vivendi Universal au 3e trimestre

jeu. nov. 3, 2005 9:54 CST

PARIS (Reuters) - Le chiffre d'affaires de Vivendi Universal affiche une progression de 12% à 4.874 millions d'euros sur un troisième trimestre marqué par une accélération de la croissance dans la plupart des divisions à l'exception de sa filiale musique.

Les ventes du groupe de communication, en hausse de 8% sur une base comparable (contre 6% au deuxième trimestre) s'avèrent supérieures au consensus moyen de 4.785 millions d'euros réalisé à partir de six prévisions.Sur neuf mois, le chiffre d'affaires croit de 10% à 14.005 millions (+8% sur une base comparable).Wargny, CIC Securities et Kepler Equities saluent de "bons résultats". "Les ventes de VU Games montrent la récurrence des abonnements (au jeu World of Warcraft). C'est bien sur Canal+ notamment au niveau de la croissance des abonnés", observe notamment Pierre Bucaille, analyste chez Wargny.La filiale de téléphonie mobile française SFR, première division du groupe, voit ses ventes croître de 20% (6,7% sur une base comparable incluant une estimation des ventes de mobiles à mobiles au tarif 2005) à 2.236 millions. La progression s'explique par la croissance du parc d'abonnés alors que le revenu moyen par client (ARPU) est resté stable au troisième trimestre.A fin septembre, le deuxième opérateur mobile français affichait 16,455 millions de clients, en hausse de 9% sur un an, (dont 10,383 millions d'abonnés, en hausse de 14%). Le service de troisième génération, qui vise 500.000 clients fin 2005, en comptait 399.000 à fin septembre.L'opérateur marocain Maroc Télécom, détenu à 51% par VU, affiche aussi une santé éclatante avec des ventes en hausse de 18% à 503 millions, la croissance atteignant même 31% sur la seule activité mobile.

LES JEUX VIDEOS EN GRANDE FORME

Universal Music group, le premier éditeur mondial de musique marque le pas, comme prévu, avec des ventes en baisse 4% à 1.119 millions (-1,5% en comparable) dans un marché difficile.Ce repli s'explique, selon le communiqué du groupe, par un "catalogue de sortie moins favorable" et une base de comparaison difficile après "un très bon troisième trimestre 2004" au cours duquel les ventes avaient progressé de 4% (8% en comparable). Les ventes de musique en ligne représentent désormais 6% du chiffre d'affaires total de la division.Le calendrier des sorties devrait être plus porteur au dernier trimestre où l'on attend, entre autres, les albums d'Eminem, de 50 Cents, Diana Krall et de Stevie Wonder. Mais la base de comparaison restera difficile puisque les ventes avaient cru de 8% au dernier trimestre 2004.Le chiffre d'affaires de Canal+, la filiale de télévision payante, progresse de 2% à 863 millions (+10% en comparable) avec une croissance de 29% pour l'activité cinéma.La télévision à péage enregistre "sa plus forte progression sur un troisième trimestre depuis plus de trois ans" avec une croissance de 5% en comparable.Le groupe met en avant "les excellentes performantes du portefeuille d'abonnements" grâce à l'exclusivité sur les droits du football français. De juillet à septembre, depuis le démarrage de la saison de football, la chaîne Canal+ a engrangé 150.000 nouveaux abonnements (+50% par rapport au troisième trimestre 2004) et le bouquet Canalsatellite 100.000 (+35%).A fin septembre, le groupe Canal+ revendique une progression nette de 290.000 abonnés par rapport à septembre 2004.Enfin, les ventes de la plus petite division du groupe, Vivendi Universal Games, continuent à être portées par le succès du jeu vidéo en ligne World of Warcraft qui compte quatre millions d'abonnés. Elles s'envolent de 151% à 158 millions d'euros, un chiffre bien supérieur aux attentes.

http://today.reuters.fr/news/newsArticle.aspx?type=businessNews&storyID=2005-11-03T085430Z_01_MAL332019_RTRIDST_0_OFRBS-FRANCE-VIVENDI-UNIVERSAL-CA-20051103.XML

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10 novembre 2005

Les actions EDF déjà pratiquement toutes vendues

Anne-Laure Julien

[10 novembre 2005]

UNE SEMAINE avant la clôture officielle des réservations, la totalité des actions EDF destinées aux investisseurs professionnels est déjà souscrite à un prix proche du milieu de la fourchette indicative comprise entre 29,5 et 34,10 euros. En bas de fourchette, la demande est même supérieure à l'offre, selon des sources de marché. On peut donc d'ores et déjà parler de succès.


Les fonds de pension anglo-saxons et les grandes compagnies d'assurances européennes constituent l'essentiel des acheteurs. Il s'agit d'investisseurs «respectables» susceptibles d'accompagner l'entreprise sur le long terme, en garantissant une certaine stabilité de son capital. Le prix ne semble pas avoir posé de réel problème aux souscripteurs. Et pour cause : ces grands gestionnaires de produits d'épargne ne peuvent faire l'impasse sur une future valeur du CAC 40. Avec une capitalisation proche de 60 milliards d'euros et un flottant d'environ 9 milliards, l'entreprise publique est en effet pratiquement assurée d'intégrer l'indice parisien.


75% des actions souscrites dans les banques

Reste que les investisseurs professionnels ne représentent pas le plus gros des souscripteurs. In fine, les particuliers pourraient en effet obtenir jusqu'à 70% des 206,6 millions d'actions mises dans le public. La décision interviendra le 21 novembre, premier jour de cotation. Tout dépendra en fait de l'appétit des épargnants pour la valeur.


A ce stade, aucun chiffre n'est officiellement diffusé sur les réservations des petits porteurs. Seul l'affichage marketing dans l'ensemble du réseau bancaire français en dit long sur l'offensive mise en oeuvre. Si on ajoute à cela l'engouement spontané des Français pour les privatisations en général et l'opinion qu'ils ont d'EDF en particulier, le succès semble garanti. D'ailleurs, au sein d'un grand établissement parisien, on reconnaît qu'«environ 75% des objectifs commerciaux sont déjà réalisés et le reste partira très vite». Même son de cloche chez son concurrent. En réalité, il faut souvent attendre la fin du week-end pour être fixé. Les investisseurs particuliers ont en effet tendance à se rendre le samedi chez leur banquier.


Pour sa part, le courtier en ligne Boursorama, fort de ses 125 000 clients, constate une accélération des ouvertures de comptes grâce à cette privatisation partielle. D'après Benoît Grisoni, directeur de Boursorama Invest, le nombre de souscriptions d'actions EDF est d'ores et déjà supérieur de 20% à celui de l'opération GDF du mois de juillet. Le montant des ordres demeure toutefois équivalent, oscillant entre 3 500 et 4 000 euros. «Il ne faut pas négliger le très fort attachement des investisseurs pour l'entreprise publique», souligne-t-il. Par ailleurs, «il reste encore une petite semaine de souscriptions et souvent les ordres affluent dans les derniers jours», ajoute Benoît Grisoni.


Quant à l'offre réservée aux salariés à des conditions préférentielles, les syndicats de l'entreprise publique laissent entendre que plus d'un salarié sur deux a déjà souscrit.

Tous les indices semblent donc confirmer le plébiscite du public pour l'opération. Au point même que certains risquent d'être déçus au final par le nombre restreint d'actions obtenues.

http://www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20051110.FIG0016.html?073941

6 octobre 2005

Nouvelle attaque frontale des Américains contre l'A 380

aérien Selon le «Wall Street Journal», le super-jumbo européen provoquerait des turbulences susceptibles de perturber les avions volant dans son sillage.

Delphine Denuit

[06 octobre 2005]

L'Airbus A 380 pourrait affronter une nouvelle zone de turbulences aux Etats-Unis. Les autorités de l'aviation civile américaine (FAA) ont bien l'intention de mener l'enquête. Cette fois-ci, ce sont les réacteurs et la forme de l'appareil qui sont en cause. Selon le Wall Street Journal, les moteurs du plus gros avion commercial jamais construit provoqueraient de très fortes turbulences. Et ce, au point d'être dangereuses pour les avions qui atterrissent et décollent dans le sillage du nouveau super-jumbo. S'il se confirmait que ces turbulences sont à ce point dangereuses, l'A 380 pourrait imposer des mesures de sécurité spécifiques. De telles mesures seraient alors particulièrement pénalisantes pour les aéroports acceptant d'accueillir le nouvel appareil. Imposer quelques secondes d'attente supplémentaires aux avions qui s'apprêtent à décoller ou atterrir dans le sillage d'un A 380 aurait à terme un impact non négligeable sur le trafic, et partant sur le volume d'affaires des aéroports. Une telle accusation, si elle se confirme, serait aussi pénalisante pour Airbus dont l'un des arguments commerciaux réside dans les capacités de son super-jumbo à même de désengorger les grands aéroports mondiaux !


Une polémique au mauvais moment


Ce phénomène de turbulences n'a rien de bien nouveau. Elles sont d'autant plus longues à se dissiper que le vent est faible. L'A 380 pèse 560 tonnes. Son envergure de 80 mètres en fait le plus gros avion commercial jamais construit. Avec ses quatre réacteurs, comparables à ceux du Boeing 747, il provoque d'évidence de fortes perturbations en vol. Mais la mesure exacte de leur impact reste à réaliser. Interrogé hier, un représentant d'Airbus n'a pas nié l'existence de ces turbulences. L'appareil fait actuellement l'objet «de prises de mesures poussées qu'Airbus est le premier à réaliser», souligne-t-il.


Selon le journal, qui ne cite pas de source, certains régulateurs américains chercheraient à augmenter de 40%, voire 50%, la distance limite de 5 miles nautiques imposée pour les avions décollant derrière un Boeing 747.


Selon Airbus, le premier exemplaire de l'A 380 continue, après 400 heures de vols, «de subir les essais et tests nécessaires à sa future certification». Celle-ci devrait avoir lieu pendant le premier semestre 2006. Qu'elle bute sur ce type de problème pourrait avoir un impact sur la rentabilité du programme ou retarder à nouveau les livraisons alors qu'Airbus a déjà pris six mois de retard.


Les allégations du Wall Street Journal tombent en tout cas au plus mauvais moment pour le constructeur européen. Ses actionnaires doivent donner aujourd'hui même leur feu vert au lancement industriel du futur long-courrier A 350 (lire ci-dessous). Or, pour ce nouveau programme, Airbus a sollicité des avances remboursables auprès de quatre pays partenaires (Allemagne, Espagne, Grande-Bretagne, France) pour financer son nouvel appareil. Comme les Etats-Unis et l'Union européenne sont actuellement en conflit sur les aides publiques à l'aéronautique, les nouvelles allégations américaines n'ont d'évidence rien de neutre. Plus curieusement, elles ont été lancées alors qu'Airbus publiait au même moment six pleines pages de publicité pour l'A 380 dans le Washington Post. Si elle devait prendre de l'ampleur, cette nouvelle affaire pourrait rappeler la manière dont il y a trente ans, les Etats-Unis avaient cherché à mettre le Concorde hors jeu. Le bras de fer continu

http://www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20051006.FIG0035.html?142126

6 octobre 2005

La SNCF perd la bataille des trains Corail

TRANSPORTS Si elle veut supprimer certaines dessertes interrégionales, la SNCF devra mettre en place des TER à sa charge.

Aude Sérès

[06 octobre 2005]

Les régions ont gagné. La SNCF pensait s'en tirer à bon compte en laissant aux régions le soin de financer les trains Corail déficitaires. Il s'agit de lignes transversales qui pèsent à hauteur de 124 millions d'euros dans les comptes de l'entreprise. Face à la mobilisation tous azimuts des élus, Dominique Perben, le ministre des Transports, a demandé à Louis Gallois de limiter les suppressions d'horaires et de continuer à assumer la charge des trains. Et si l'entreprise supprime des dessertes de bout en bout, elle devra continuer à assumer ce service par le biais de Trains express régionaux (TER) qu'elle financera elle-même. «Chaque fois que la SNCF proposera de supprimer une desserte Corail, a tranché Dominique Perben, elle fera la proposition de créer un train régional dont elle prendra en charge les coûts de fonctionnement.» C'est une entorse à la décentralisation du transport ferroviaire, qui, depuis janvier 2002, dispose que le transport régional de voyageurs est à la charge des régions. Les économies que la SNCF fera en supprimant des Corail, elle devra les réinvestir. Elle s'est engagée, pour rénover ces trains, moins bien lotis que les TER et les TGV, à investir 130 millions d'euros sur quatre ans. Enfin, la SNCF fera des efforts de commercialisation et de marketing autour de ces trains.


La rencontre hier entre Louis Gallois et certains des élus, dont Alain Rousset, président de la région Aquitaine et de l'Association des régions de France, ou encore Martin Malvy, président de la région Midi-Pyrénées, a permis de régler le problème de trois lignes transversales : Caen-Tours, Quimper-Toulouse et Nantes-Lyon. Elles cumulent 20 millions d'euros de pertes chaque année. La modification des dessertes conduira à une économie de 5 millions.


Les présidents de région demandent que le sort d'une vingtaine de lignes déficitaires soit réglé d'ici à la fin de l'année. Dans cette affaire, l'Etat ne compte pas mettre la main au portefeuille. Il laisse la SNCF assumer la péréquation entre ses différentes activités. Les TGV paieront pour les Corail déficitaires. Alain Rousset a néanmoins demandé que «l'Etat revienne dans le jeu sur le service SNCF et aussi sur l'état des voies, qui est dramatique». Il a évoqué le chiffre de 2 milliards d'euros pour la modernisation des Corail.

http://www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20051006.FIG0045.html?142123

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